Lesprix Bourbonnais et le prix René Fallet 2022 seront remis lors de cette 34e journée littéraire. - Ce sont deux jours de rencontres autour de René Fallet, du livre et de la découverte du Bourbonnais, le deuxième week-end de Juin à l'espace Bertranne (anciennement la salle Socio-culturelle) à Jaligny - C'est au cours des Journées Littéraires que le jury populaire vote pour
Skip to content AccueilSalles de CinémaTous les cinémasCinémas Art & EssaiCinémas disparusCinémas MythiquesCinémas de QuartierCinémas AssociatifsCinémas PornosMultiplexesCinémas par RégionsRégion parisienneParisIle-de-FranceEn ProvinceAuvergne-Rhône-AlpesBourgogne-Franche-ComtéBretagneCentre-Val-de-LoireCorseGrand EstHauts-de-FranceNormandieNouvelle-AquitaineOccitaniePays de LoireProvence-Alpes-Côte-d’AzurAutres paysItalieBelgiqueIrlandeMonacoOmanPortugalSuisseCircuits cinématographiquesCap CinémasCGRCiné AlpesCiné Métro ArtCiné MovidaCinévilleÉtoiles CinémasGaumontLes Écrans de ParisMk2MegaramaPathéRytmannUGCUtopiaVéo CinémasActualitésToutes les actualitésCarnet du jourLivres / DVD Blu-rayExpositionsEntretiensTémoignagesCritiques de filmsToutes les critiques de filmsPratiqueCartes d’abonnementMultiplexesQui sommes-nous?À proposOn parle de nousLivre Rytmann, l’aventure d’un exploitant de cinémas à MontparnasseLivre Le Saint-André-des-Arts, désirs de cinéma depuis 1971RechercheAccueilSalles de CinémaTous les cinémasCinémas Art & EssaiCinémas disparusCinémas MythiquesCinémas de QuartierCinémas AssociatifsCinémas PornosMultiplexesCinémas par RégionsRégion parisienneParisIle-de-FranceEn ProvinceAuvergne-Rhône-AlpesBourgogne-Franche-ComtéBretagneCentre-Val-de-LoireCorseGrand EstHauts-de-FranceNormandieNouvelle-AquitaineOccitaniePays de LoireProvence-Alpes-Côte-d’AzurAutres paysItalieBelgiqueIrlandeMonacoOmanPortugalSuisseCircuits cinématographiquesCap CinémasCGRCiné AlpesCiné Métro ArtCiné MovidaCinévilleÉtoiles CinémasGaumontLes Écrans de ParisMk2MegaramaPathéRytmannUGCUtopiaVéo CinémasActualitésToutes les actualitésCarnet du jourLivres / DVD Blu-rayExpositionsEntretiensTémoignagesCritiques de filmsToutes les critiques de filmsPratiqueCartes d’abonnementMultiplexesQui sommes-nous?À proposOn parle de nousLivre Rytmann, l’aventure d’un exploitant de cinémas à MontparnasseLivre Le Saint-André-des-Arts, désirs de cinéma depuis 1971RechercheAccueilSalles de CinémaTous les cinémasCinémas Art & EssaiCinémas disparusCinémas MythiquesCinémas de QuartierCinémas AssociatifsCinémas PornosMultiplexesCinémas par RégionsRégion parisienneParisIle-de-FranceEn ProvinceAuvergne-Rhône-AlpesBourgogne-Franche-ComtéBretagneCentre-Val-de-LoireCorseGrand EstHauts-de-FranceNormandieNouvelle-AquitaineOccitaniePays de LoireProvence-Alpes-Côte-d’AzurAutres paysItalieBelgiqueIrlandeMonacoOmanPortugalSuisseCircuits cinématographiquesCap CinémasCGRCiné AlpesCiné Métro ArtCiné MovidaCinévilleÉtoiles CinémasGaumontLes Écrans de ParisMk2MegaramaPathéRytmannUGCUtopiaVéo CinémasActualitésToutes les actualitésCarnet du jourLivres / DVD Blu-rayExpositionsEntretiensTémoignagesCritiques de filmsToutes les critiques de filmsPratiqueCartes d’abonnementMultiplexesQui sommes-nous?À proposOn parle de nousLivre Rytmann, l’aventure d’un exploitant de cinémas à MontparnasseLivre Le Saint-André-des-Arts, désirs de cinéma depuis 1971Recherche 1960-1980 l’âge d’or des cinémas de Paris. Accueil/1960-1980 l’âge d’or des cinémas de Paris. Voir l'image agrandie 1960-1980 l’âge d’or des cinémas de Paris. Paris et ses cinoches, c’est une histoire que tout parisien peut raconter! Les cinémas de la capitale en ont vu passer des enfants, des adolescents qui sont aujourd’hui devenus des adultes et qui se rappellent leurs émotions devant le grand écran… propose des témoignages de cinéphiles qui nous font partager leurs souvenirs. Nous avons rencontré Marc Montezin, photographe, qui évoque ces cinoches et ses souvenirs de spectateur parisien depuis les années 1960 jusqu’à nos jours. Les années 1980 sont peut-être celles qui ont connu le plus de fermetures définitives de cinémas à Paris. Elles marquent la fin d’une époque où le ciné du coin, pas toujours avenant, proposait des films en exclusivité, mais aussi des films de genre arts martiaux, films d’actions, films de vampires et autres séries B. Marc a connu ces salles atypiques et parfois oubliées. RENCONTRE AVEC MARC MONTEZIN, PHOTOGRAPHE ET CINÉPHILE Paris comptait un important nombre de cinémas dans les années 1960-1970, souvent concentrés dans un même quartier. Quel quartier fréquentiez-vous? J’habitais le 15ème arrondissement de Paris. Mon quartier possédait peu de cinémas à part ceux concentrés autour de la place de la Convention où j’allais avec mes parents le GAUMONT et le MAGIC qui est devenu l’UGC CONVENTION et est depuis détruit. Encore maintenant, je me rappelle tous les films vus en fonction des salles! De temps en temps, je fréquentais le KINOPANORAMA, le CAMBRONNE ou LE NOUVEAU THÉÂTRE dans ce dernier, des films en cinérama étaient projetés comme Grand Prix » John Frankenheimer – 1966. Le jeudi après-midi – c’était le jour où on n’allait pas à l’école – la programmation était destinée aux familles. En cachette, j’allais au SÈVRES-PATHÉ, mon école étant à proximité. Il y avait dans ce cinéma un programme unique, d’une longue durée. Ma mère travaillait dans le quartier. Nous déjeunions ensemble et, après m’avoir donné 5 francs, je courais au cinoche sans lui dire! Dans le métro, je rentrais, la tête pleine d’images, espérant arriver avant elle ! Dans mon enfance, la séance de cinéma était un spectacle à elle toute seul! Avant le film, des dessins-animés étaient projetés. Puis un reportage ou un court-métrage et enfin les publicités. Une bonne heure était déjà passée avant qu’enfin le film soit projeté sur l’écran. Et ce n’était pas toujours un film récent j’ai vu Le Capitan » André Hunebelle – 1960, La mélodie du bonheur » Robert Wise – 1965, Le Petit baigneur » Robert Dhéry – 1968, Le Bossu » André Hunebelle – 1959, Alexandre le bienheureux » Yves Robert – 1967, etc. Quelles étaient les conditions de projection dans ces cinémas? C’est vrai qu’il fallait bien choisir sa place! Quand le film commençait, on entendait souvent le bruit des sièges, leur bruyant claquement de fermeture, dû aux spectateurs quand ils changeaient de places! Les chapeaux des spectateurs qui gênent pendant le film, ce n’est pas de mon époque. Cependant, on regardait tout de même où on s’asseyait, en vérifiant s’il n’y avait pas une personne de grande taille devant soi! Pour le confort de l’assise, nos genoux étaient vraiment collés au dos du fauteuil de la personne de devant. On pouvait sentir dans le dos les genoux de la personne derrière… De temps en temps, il arrivait que le film s’arrête. La salle se rallumait, on attendait et on dirigeait nos regards vers la lucarne du fond, là où se trouve la cabine de projection où on voyait s’activer le projectionniste. Une fois, au MAILLOT-PALACE, j’ai assisté à une projection durant laquelle la pellicule prit feu! Nous étions dans les années 1974-75 et le film projeté, sorti quelques années plus tôt, était Il était une fois dans l’ouest » Sergio Leone – 1968. Durant la longue scène du début, lors de l’arrivée du train en gare, le film brûla à trois reprises! La bobine avait dû faire le tour de France pour en arriver-là! Je me souviens que toute la salle riait aux éclats à force d’interruptions ! A contrario, il y avait des cinémas plus luxueux comme LES PORTIQUES devenu le GEORGE V, sur l’avenue des Champs-Elysées, qui possédait les meilleures copies et proposait une qualité de projection optimale. Le REX, bien entendu, ainsi que le BRETAGNE avec sa grande salle panoramique étaient des cinémas confortables. J’ai même connu l’EMPIRE, avenue de Wagram quelle grandeur ! En parlant de splendeur, le GAUMONT-PALACE restera à jamais gravé dans ma mémoire j’y suis allé à deux reprises seulement, accompagné de mes parents. C’est le seul cinéma de mon enfance qui projetait des films en version originale sous-titrée en français. J’y ai vu la retransmission des jeux Olympique de Mexico en 1968 et Les Cheyennes » John Ford – 1964. J’étais bouche-bée. Ci-dessus La façade du Gaumont Richelieu au 27 boulevard Poissonnière à Paris. Les cinémas de l’époque étaient bien ancrés dans leur quartier… J’ai franchi la frontière du 15ème de mon enfance et ai découvert d’autres salles de cinéma pour aller voir encore plus de films, toujours au même prix. J’ai connu les CINÉAC et autres SPLENDID. Rue de la Gaîté, dans le 14ème arrondissement, le SPLENDID-GAÎTÉ était mon cinéma de prédilection. C’était un cinéma permanent, on pouvait voir des films autant de fois qu’on le souhaitait, jusqu’à trois films d’affilée! Il y avait de ce fait beaucoup de va-et-vient de personnes qui rentraient et sortaient de la salle. Pour ma part, j’arrivais à 14h et je sortais du cinéma à 18h. Ce cinéma proposait une programmation assez insolite Les lumières de la ville » Charles Chaplin – 1931 suivi des Baroudeurs » Peter Collinson – 1970, Jour de Fête » Jacques Tati – 1949 suivi de Scorpio » Michael Winner – 1973. En réalité, la programmation m’importait peu… J’étais un tel habitué que la caissière me gardait les affiches des films ! Il y avait une vraie vie dans ces cinémas permanents des couples d’amoureux qui s’embrassaient plus qu’ils ne regardaient le film, des personnes qui dormaient, etc. Dans les quartiers proches des gares ferroviaires, les cinémas permanents, qui sont tous devenus des cinémas pornos par la suite, étaient de véritables fourmilières humaines! Un genre de film particulier était-il programmé dans certains cinémas? J’ai fréquenté le CINÉAC-ITALIENS dans le quartier de Richelieu-Drouot ce cinéma programmait des rétrospectives de grands films populaires. Je me souviens de festivals James Bond », de films avec l’acteur le plus populaire de l’époque, Charles Bronson, de séries de l’Inspecteur Harry, de classiques du western, des films avec Alain Delon et Jean-Paul Belmondo, d’une série des Trois Mousquetaires, etc. Grâce à ces deux films au même programme, on pouvait voir les grandes sagas en une fois, comme aujourd’hui avec les DVD. Je me rappelle qu’il y avait deux films au programme deux films avec Clint Eastwood L’Inspecteur Harry » Don Siegel – 1971 suivi de Magnum Force » Ted Post – 1973 ; James Bond contre le Docteur No » Terence Young – 1962 suivi de Bons baisers de Russie » Terence Young – 1963; Borsalino » Jacques Deray – 1970 suivi de Borsalino & Cie » Jacques Deray – 1974, etc. Petit à petit, ces cinémas ont fermé les uns après les autres, ou bien se sont reconvertis dans le porno. Il restait tout de même l’increvable CHAMPO, dans le Quartier Latin. Je fréquentais aussi les cinémas ACTION, toujours dans le Quartier Latin, ainsi que la CINÉMATHÈQUE FRANÇAISE qui était à l’époque située au Palais de Chaillot, derrière le Musée de l’Homme dans le 16ème arrondissement. Il y avait des cinémas plus chics comme le BONAPARTE, place Saint-Sulpice j’ai assisté à un passionnant débat avec Claude Sautet à propos de son film Classe tous risques » 1960. J’ai également fréquenté LA PAGODE, cinéma insolite d’architecture chinoise ainsi que LA ROTONDE, sur le boulevard du Montparnasse. Dans ce dernier, il était autorisé de fumer dans la salle, ce qui était franchement désagréable, parole de fumeur ! Le KINOPANORAMA m’a beaucoup marqué la queue arrivait fréquemment jusqu’à la bouche du métro. Les grandes sagas hollywoodiennes faisaient le plein Autant en emporte le vent » Victor Fleming – 1939, bien sûr mais aussi Lawrence d’Arabie » David Lean – 1962, La Canonnière du Yang-Tsé » Robert Wise – 1966, La Conquête de l’ouest » John Ford, Henry Hathaway, George Marshall – 1962, etc. Tous ces grands films avec entre-acte étaient joués au KINO. Plus tard, j’y ai vu L’Année du Dragon » Michael Cimino – 1985 ou Le Grand Bleu » Luc Besson – 1988. Selon moi, le KINO faisait partie des plus belles salles de cinéma de Paris. Les années 1990 et 2000 voient une restructuration des salles concentration, modernisation, etc.. Le spectateur a-t-il gagné au change? Il est indéniable que la qualité des projections dans les salles de cinéma actuelles est nettement supérieure à ce qui existait auparavant. Dans les années 1970, on a assisté à la prolifération de multisalles la grande salle originelle était compartimentée en plusieurs salles. Les salles sont devenues toutes petites et franchement pas confortables. Il y avait parfois des salles d’une capacité de seulement 40 à 50 fauteuils ! Souvent, on était placé beaucoup trop près de l’écran et la qualité de la pellicule laissait à désirer. Les spectateurs râlaient beaucoup. Même la qualité de la télévision actuelle est bien meilleure que dans ce genre de cinémas d’alors! Cerise sur le gâteau, il était parfois plus facile et moins cher de rentrer par la sortie du cinéma ! Les cinémas actuels sont bien plus confortables, c’est certain. Que vous inspirent les multiplexes ? Comment le photographe que vous êtes les perçoit-il? Selon moi, un beau cinéma avec des lettres qui brillent, ça fait rêver ! Ces gros cubes laids ne me font pas du tout rêver. Je pense avoir résumé mon point de vue sur le multiplexe ! Où sont donc passées les belles façades de cinéma comme celle du PARAMOUNT OPÉRA ou du GRAND REX quand on les compare avec les multiplexes d’aujourd’hui? Où sont les belles et grandes devantures qui étaient placardées d’affiches, parfois de véritables chefs d’œuvres d’illustrateurs, qui nous faisaient tant rêver? Parfois, des ajouts rendaient l’affiche très commerciale comme pour la première fois à l’écran », Qui a tué …? » ou Bronson dans la mafia » pour illustrer un titre de film avec l’icône du film d’action américain. Copyright Sur le même thème Souvenirs de cinémas disparus à travers l’oeil d’un photographe Interview Témoignage J’ai fréquenté les salles de cinéma porno… » Articles similaires 4 Comments Guy MARTIN 2 novembre 2019 à 13 h 07 min J’ai connu les Grands Boulevards entre 1955 et 1959, surtout Bonne-Nouvelle, Saint-Denis et Saint-Martin. Je me souviens du Neptunia, du Pathé-Journal, du Far West, de l’Eldorado et du Brady, mais je ne retrouve pas les noms de tous les autres si quelqu’un a la liste où le jeudi et le dimanche on pouvait voir que des films d’aventures américains à l’apogée du technicolor. P. Bohbot 12 juin 2016 à 21 h 19 min Étant âge de 58 ans et passionné de cinéma j’ai des souvenirs de ces salles superbes, hélas mille fois hélas disparues! Si je me rappelle bien les portes du CINEAC Italiens étaient noires avec des cercles en verre. Je ne me souviens plus de l’intérieur. J’ai connu le FAR-WEST boulevard Saint-Martin Paris 3 où on passait des westerns spaghetti et aussi américains, des péplums… Le cinéma CINEX bld de Strasbourg, l’ELDORADO à côté qui est maintenant un théâtre. Bien sûr les salles comme le BARBIZON, le mythique GAUMONT-PALACE…C’était le temps ou il y avait des ouvreuses, des documentaires. Je regrette qui il n y ait plus de cinémas comme ça. Pourquoi ne pourrait-on pas les recréer? C’est comme si faire le remake d’un film, ça serait magnifique! Merci cela me rappel des bons souvenirs […] Interview flash-back sur les cinémas du Paris des années 1960-1980 […]
Retrouveztoutes les photos et images en diaporama du film Les Vieux de la vieille et les affiches officielles . à la une bandes-annonces films Les Vieux de la vieille : Affiche Gilles Grangier, Error 403 Guru Meditation XID 864162199 Varnish cache server
AccueilCinéma Tous les films Films Comédie Les Vieux de la vieille Affiche du film Les Vieux de la vieille - Photo 1 Les Vieux de la vieille ? Retour à la galerie 1 Les Vieux de la vieille: Pierre
madmoizelle Pop culture Cinéma Une vieille dame raciste qui se lance dans le commerce de la drogue c’est le synopsis de Paulette, comédie française qui sort dans les salles le 16 janvier prochain. Le 16 janvier prochain sort Paulette, une comédie réalisée par Jérôme Enrico avec Bernadette Lafont dans le rôle-titre. C’est l’histoire d’une femme âgée acariâtre et raciste qui vit seule dans un appartement en banlieue parisienne et qui touche une trop petite retraite pour s’en sortir financièrement. Un jour, elle découvre un trafic de stupéfiants en bas de chez elle et décide d’arrondir ses fins de mois en faisant pareil. Elle se met alors en tête de faire du commerce de cannabis en concoctant des space cakes des madeleines qui défoncent », comme elle dit. Une mamie-gâteau un peu particulière, quoi. En plus de Bernadette Lafont que nous sommes probablement nombreuses à connaître pour les pubs vantant les mérites d’une pâte fixatrice de dentier – un jour j’ai pris le tube de ma grand-mère pour du dentifrice et j’ai frôlé le drame, on retrouvera dans cette comédie inspirée de faits réels Axelle Laffont, Carmen Maura et Dominique Lavanant. Un genre de Weeds, mais version mamie franchouillarde, quoi. Publié le 04 janvier 2013 à 16h46 10 janvier 2013 à 12h35 Bucky Je n'irais surement pas le voir au ciné...non car au ciné je ne vais voir que les blockbusters...mais quand même j'aime bien les films ou les séries qui font faire des conneries au vieux J'ai le droit de dire "vieux", je taffe avec .... parce que la plupart sont de vraies fripouilles... Et puis j'aurais aimé que ma mère-grand me fasse des madeleines 0Titreoriginal : VIEUX DE LA VIEILLE (les). Format :120x160cm. Titre original : VIEUX DE LA VIEILLE (les). Format :120x160cm. Skip to main content. Shop by category. Shop by category. Synopsis Après trente cinq ans d'absence, Baptiste, cheminot en retraite, passe par son village natal vendéen, pour persuader ses vieux amis Jean-Marie, réparateur de bicyclettes et Blaise, ancien marchand de cochons et joyeux ivrogne, de venir finir leurs jours e
Cinemagora: Guide Cinéma : Quel Film Aller Voir Au Cinéma. Les Vieux de la vieille : Critique, Bande-annonce, Affiche, DVD, Blu-ray, Téléchargement, Streaming
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 3,7 642 notes dont 79 critiques noter de voirRédiger ma critique Synopsis Trois amis très farceurs quittent leur village et partent s'installer dans une maison de retraite. Pourtant, au grand dam des habitants de la bourgade, ils décident de revenir au village... Regarder ce film Acheter ou louer sur CANAL VOD LaCinetek Location dès 2,99 € Orange Location dès 2,99 € VIVA Location dès 2,99 € HD PremiereMax Location dès 2,99 € HD Voir toutes les offres VODService proposé par Les Vieux de la vieille Blu-ray Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Acteurs et actrices Casting complet et équipe technique Critiques Spectateurs Vèritable bouffèe d'air pour cette farce réalisèe par Gilles Grangier où baigne beaucoup d'humanitè! Un film populaire comme on n'en fait plus avec cette ambiance et cette atmosphère si particulière! Un trio èpatant Jean Gabin alias Jean-Marie Pejat, rèparateur de vèlos; Pierre Fresnay qui campe Baptiste Talon, retraitè Noël-Noël en Blaise Poulossière, marchand de cochons de grands seconds rôles Andrè Dalibert, Paul ... Lire plus René Fallet voit son roman "Les vieux de la vieille" adapté au grand écran à peine deux ans après avoir été publié par les Editions Denoël. L’adaptation est signée par l’auteur lui-même, en partenariat avec Gilles Grangier qui se sera chargé de la réalisation et l’inénarrable Michel Audiard. Le roman fait état de trois personnages principaux, lesquels vont être interprétés par Jean Gabin, Noël-Noël, et Pierre Fresnay, ... Lire plus "Les vieux de la vieille" est sans aucun doute le film de Gabin le plus décrié par ceux qui lui reprochent une dernière partie de carrière jugée honteuse pour celui qui fut le héros de "Pépé le moko" Julien Duvivier,1937, du "Jour se lève" Marcel Carné, 1939 et de "La grande illusion" Jean Renoir, 1937. L'argument peut être entendu même si dans le deuxième versant de sa prodigieuse carrière Gabin continua de tourner des films ... Lire plus Gilles Grangier nous a livré quelques comédies qui ont marqué leur époque et qui ne manquaient pas de sel, telles "Archimède le clochard" avec Jean Gabin et Darry Cowl et l'inoubliable "Les Vieux de la vieille" avec nos trois grands farceurs, re-Jean Gabin, accompagné de Pierre Fresnay et Noël-Noël. Un film à vous faire péter la braguette, tellement l'on rit à gorge déployée. certes, le comique reste assez enfantin, mais le talent de ... Lire plus 79 Critiques Spectateurs Photo Infos techniques Nationalités France, Italie Distributeur - Année de production 1960 Date de sortie DVD 23/04/2008 Date de sortie Blu-ray 07/10/2020 Date de sortie VOD 31/01/2016 Type de film Long-métrage Secrets de tournage - Budget - Langues Français Format production 35 mm Couleur N&B Format audio Mono Format de projection - N° de Visa 22879 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires
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