Mamanchat montre Ă  ses chatons que le Golden Retriever est un ami ! Facebook. Email or phone: Password: Forgot account? Sign Up. See more of Proverbes et Citations. on Facebook. Log In. or. Create new account. See more of Proverbes et Citations. on Facebook. Log In. Forgot account? or. Create new account. Not now. Related Pages . Oh My Mag. News & media website. Tais-toi
Après son sauvetage, cette maman chat s’est mise à parler à ses chatons... faisant alors craquer les bénévoles qui s'occupent de la petite famille. Ces derniers n'ont pas manqué de prendre une vidéo des plus adorables pour nous faire fondre à notre tour !Cate, la mère des petits a été sauvée et choyée par Vancouver Orphan Kitten Rescue, dans le but de lui offrir, à elle et ses bébés, une deuxième chance dans la vie. A l’abri et au chaud dans le refuge, Cate en a profité pour prendre soin de ses chatons qu’elle dorlote sans arrêt… allant même jusqu’à parler avec eux !Cate est une très bonne maman pour ses six chatons… elle est patiente, dévouée et aimante. Ces images prouvent le beau rapport qu’elle entretient avec eux», a confié Dr Nworb's KitsCats, qui a posté la vidéo de la petite famille sur tout ce petit monde a réussi à trouver un foyer, la maman comme les petits. Ils rejoindront leur nouvelle famille lorsque les chatons seront sevrés !Vous aussi, vos animaux communiquent entre eux ? Si c'est le cas, n'hésitez pas à le partager en commentaire sur notre page Facebook !A lire sur le même thème Un chat et une petite fille parlent la même langue​

Cest ce que l’on appelle la période de vicariance. A partir de la 7 ème semaine, le petit chat peut commencer à manger un peu de pâtée pour chatons. Entre 56 et 60 jours (soit à l’âge de 8 semaines au minimum), le chaton devrait être totalement sevré.

La période du sevrage est une étape importante dans la vie d’un chaton, elle marque le début de son indépendance et du détachement maternel. C’est un passage, qui se fait en général sans difficultés à condition de laisser les choses se faire petit à petit… La période de sevrage commence lorsque les chatons ont à peu près 4 semaines et va s’étaler sur environ 1 mois. Un chaton n’est donc pas sevré avant l’âge d’au moins 8 semaines, c’est pour cela qu’il est déconseillé d’adopter un chaton avant cet âge. Dans cet article nous parlons bien sûr principalement du sevrage alimentaire ! Il a été montré par plusieurs études qu’un chaton qui reste avec sa mère jusqu’à l’âge de 3 mois est plus équilibré dans son comportement. Laisser un petit avec sa mère plus longtemps permet de prévenir les troubles du comportement. A noter il est interdit de céder à titre gratuit ou onéreux des chats âgés de moins de huit semaines article L. 214-8 du Code rural. Le sevrage une période de transition alimentaire Pendant les 4 premières semaines de sa vie, un chaton se nourrit exclusivement en tétant le lait maternel. A partir de l’âge de 4 semaines, il commence à explorer son environnement, à suivre et à copier les faits et gestes de sa mère, on parle de période de vicariance. A partir du moment où ses chatons ont 4 semaines environ, la chatte n’acceptera plus aussi bien les tétées et restera moins vers eux, sera moins disponible. Lorsque ses chatons ont 2 mois environ la chatte les repousse sérieusement en feulant et en leur donnant des coups de pattes lorsqu’ils cherchent à téter. Si la portée est réduite, la chatte peut accepter d’allaiter plus longtemps. Le chaton va donc s’intéresser à la gamelle de nourriture dans laquelle se nourrit sa mère et commencer à grignoter ce qu’elle mange. On conseille pour l’alimentation des chattes allaitantes les croquettes chatons car elles sont très riches en énergie pour subvenir aux besoins accrus de la chatte qui allaite, l’intérêt est double car elles sont de petite taille et conviennent donc aux chatons pour le sevrage. Le sevrage se fait ainsi naturellement les chatons vont manger de plus en plus de croquettes et de moins en moins de lait. La chatte ne peut de toute façon plus, à partir de 5 à 6 semaines, subvenir aux besoins énergétiques grandissant de tous ses chatons. Astuces humidifiez les croquettes avec un peu d’eau tiède afin de les ramollir et de faciliter la préhension par les petits placez les croquettes dans une gamelle aux rebords assez bas ou bien une écuelle ou une petite assiette pour que les chatons puissent accéder facilement à la nourriture. Le saviez-vous ? par Dominique Lebrun expert en nutrition Royal Canin C’est pendant son plus jeune âge que se forme le goût de votre chat on parle plutôt de préférence alimentaire car le goût, peu performant vient compléter le sens olfactif chez le chat. Si l’on veut qu’il consomme bien des aliments secs plus tard, il est important de bien l’habituer à consommer des croquettes dès le sevrage. Si l’aliment choisi est véritablement complet, équilibré, et adapté à la croissance du chaton, il est inutile de chercher à varier souvent l’alimentation. Ce qui compte, c’est que l’aliment lui-même soit composé d’ingrédients apportant l’ensemble des nutriments dont votre chaton a besoin. » Découvrez les aliments pour chaton Royal Canin sur Pour nourrir idéalement le chaton pendant le sevrage en ensuite, les croquettes pour chaton sont très riches en énergie et peuvent soutenir la période de croissance rapide à 2 mois un chaton a multiplié son poids de naissance par 10, il est passé de 100g à 1kg environ aux besoins très intenses notamment en protéines, en énergie et en acides gras essentiels EPA et DHA pour le développement idéal du système nerveux. Vous pouvez lire nos fiches sur l’alimentation du chaton. Jusqu’à l’âge de 4 semaines, un chaton ne fait que manger et dormir, c’est sa mère qui lui fait sa toilette, qui le stimule pour faire ses besoins, il ne quitte pas le nid ». La phase de vicariance commence à l’âge d’un mois lorsque les chatons commencent à explorer le monde… Ils découvrent, copient et reproduisent les comportements de leur mère la toilette, manger dans la gamelle, aller dans la caisse à litière, gratter, etc… C’est vers l’âge de 7-8 semaines que le chaton sera autonome pour toutes ces tâches essentielles, il aura acquis son indépendance. Attention la phase de socialisation est plus tardive, elle commence vers l’âge de 7 à 8 semaines, elle permet au chaton de se sociabiliser, d’apprendre à vivre avec d’autres chats, avec des humains… Pendant cette phase la chatte apprend à ses chatons les limites morsure, griffures, etc…. On considère la socialisation terminée à l’âge de 3 mois à parfois un peu plus. C’est en général à la fin de cette période que la mère commence à rejeter ses chatons. N’hésitez pas à lire notre fiche Un chaton sociable et tolérant et sur l’éducation du chaton. Croquettes pour chatons Lait maternisé Pâtée en mousse Dre Bénédicte Hivin Docteure vétérinaire diplomée de l'Ecole Nationale Vétérinaire de Lyon, j'ai travaillé comme vétérinaire conseil chez Wanimo de 2010 à 2022. 1025 articles RegardezMaman qui roucoule avec ses chatons - Moune14 sur Dailymotion. Recherche. Bibliothèque. Se connecter. S'inscrire. Regarder en plein écran. il y a 14 ans. Maman qui roucoule avec ses chatons. Moune14. Suivre. il y a 14 ans. Signaler. Vidéos à découvrir. Vidéos à découvrir Dim 21 Aoû - 2209début/mi-juillet, Pirro Lukumon ;; Liza n’avait pas exactement prévu de déménager. Son budget est toujours limité et elle n’a pas exactement envie de taper dans le porte-monnaie de Maman, pour lui donner presque raison, n’a non plus aucun intérêt à demander de l’aide financière à Pirro. Elle sait que ses finances devraient aller en s’améliorant, avec un vrai travail appuyé sur un vrai diplôme pour avoir enfin ! une vraie rémunération. Elle a un peu ri lorsqu’on lui a proposé un appartement à titre gratuit, et boudé, et… A reconsidéré la chose, parce que — zut, c’est vrai que c’est vraiment petit chez elle, qu’elle aimerait un peu plus d’espace pour au moins les trois chats, et elle aussi, et avoir un vrai bureau, et un petit balcon ?! et ; Et si Pirro en est le propriétaire, par un concours de circonstances, et offre, elle n’abuse de rien ni de personne ? Quitte à démarrer un nouveau chapitre de sa vie…Liza a été un peu déçue de voir à quel point il lui a été facile et rapide de faire ses cartons. Cela l’a, sans doute, un peu bousculé que tout se fasse aussi rapidement - à peine une semaine entre la décision et l’arrivée - mais elle en est… Heureuse, et soulagée, et si ça n’avait pas été aussi rapide elle aurait sans doute changé d’avis plus que eh bien sept fois elle a arrêté de le dire à voir haute après avoir reçu une pichenette derrière l’oreille, ce qui a valut un très embarrassant MAIS PAPA !!’ en plein milieu de la rue. une musique douce en bruit de fond d’une soirée calme où il n’y a rien à faire et rien pour s’inquiéter, les petits qui tapent dans leurs mains parce que seulement rire ne suffit pas… La sorcière surveille du coin de l’œil — non, des coins des deux yeux. A gauche il y a Pirro qui termine de fixer quelques grillages de sécurité sur son balcon, pour éviter que les chats ne s’échappent alors qu’ils ne sont pas habitués à aller dehors. A droite il y a Romeo qui miaule toute son âme et essaie de défoncer sa cage toutes les deux minutes car il n’aime pas être enfermé. Au milieu il y a Liza qui essaie de ne pas rire, mais elle est dans une terrible bonne humeur il faut dire. Comme si les tracas et erreurs et pertes des derniers mois s’effaçaient… Comme s’il n’y en avait pas encore, plein, des petites choses non réglées et des grandes qui lui font peur. La tactique est de ne pas y penser sur les mois d’été ; ce ne sera pas plus simple à la rentrée, mais elle aura peut-être un meilleur état d’esprit pour les affronter. Chut, chut ! » Elle siffle à son chat lorsqu’elle passe devant la cage, appuie l’ordre du geste signé pour n’être évidemment pas écoutée. Elle sort de la citronnade faite maison du frigo avant d’aller retrouver le bricoleur du samedi à l’oeuvre. Tu… T’en sors ? » Doute-t-elle des capacités manuelles de son père ? Elles sont déjà meilleures que les siennes, après… Peut-être._________________ - tell someone you love them today, because life is short, but also scream at them in German, because life is also confusing and bienheureuxpseudo irl ael, accords neutresfaceclaim zoïa mossour, c labonairs av, bastet code signmultifaces elga, manosh, 72portrait inrp elle, accords jeune dévouée de Syrdon, divinité souhaitée, conséquences qu'elle a du mal à termine ses études pour être institutrice, étudiante, enseigne à une classe, petit boulot à la bibliothèque universitaire quelques soirs et définitivement un bon béguin, définitivement les sentiments c'est beaucoup à gérer pour futur une hermine, nom à définir. Dim 21 Aoû - 2218Tu l’as proposé aux deux filles, un nouvel endroit où habiter, qu’elles soient à deux, seules, avec leurs copaines du moment, peu importait ; tu avais à ta disposition un parc immobilier et personne pour y habiter. Il y avait eu des pincements au cœur les premières fois que tu avais revisité l’endroit, tu avais viré les objets compromettants, mis dans des sacs poubelles les affaires dont elle n’aurait pas besoin et qu’elle ne comprendrait pas, dans des cartons ceux qui avaient une quelconque importance et aidé la gamine à emménager. Tu en avais fait un sacré paquet, de déménagements, dans ta propre famille, pour le coven, par toi-même, puis vous aviez la bougeotte. Tu savais quoi faire, comment, où. Tu n’avais juste plus 20 ans et la fatigue – couplée à celle des possessions que tu faisais toujours avec Taty et Dash – rendait la fin des petits aménagements particulièrement bienvenue. Oui, oui. » Tu bailles, donnant une tape un peu violente au grillage pour prouver l’efficacité à Liza. Que ce soit du système D ou des choses apprises dans l’enfance – chez les pionniers ou à la maison parce que vous aviez tout un tas de bestioles – tu savais ton affaire. Il y a combien de kilos de sucre dans ta boisson ? » Tu tends tout de même la main pour l’attraper. Tu peux libérer les fauves Tu as besoin que je fasse autre chose ? J’ai vérifié que tout était en état de marche, que rien ne fuyait, que aucune prise n’avait une emmerde, mais j’ai p’t’êt’ oublié un truc ?. » _________________ Trust no you make jokes because you're afraid to take anything seriously ▬ Because if you take things seriously, they sans attachepseudo freyfaceclaim Enzo Cilenti Jenesaispas, gif cake&snouts, signa batphaniemultifaces Bazyli Morana + Aslan Tengri + Krishvy Kamadevamessages 407portrait statut Syrdon, solitaire suite à la destruction de son covenoccupation Arnaqueur professionnel spécialisé en possession de corps ; gérant d'une salle de sport / Catilina, une libellule Dim 21 Aoû - 2234Y’a un sursaut et déjà de l’électricité de la peur libérée trop tôt qui lui parcourt tout le corps lorsque Pirro frappe le grillage pour lui prouver le travail bien fait — elle fronce les sourcils, inspectrice des travaux finis improvisée. Bah calme-toi, c’n’est pas aussi solide que la Tour Eiffel ton truc quand même… ?! » Pourquoi pense-t-elle à Paris ? Ah ah ah ah… ah. Allez savoir pourquoi mais les villes se nommant Paris sont le départ de tous ses soucis. Le sourire revient rapidement sur les lèvres de la gamine, tout de même, alors qu’elle peut tendre le verre à son père. Approximativement douze, pourquoi ? » Elle ne le fait vraiment pas exprès, elle ne sait jamais comment doser le sucre dans la casserole et en met généralement trop — panique quand ça caramélise de nulle part, mais la technique a tout de même été améliorée avec les années. Liza le laisse descendre de son perchoir et essaie de réfléchir. Honnêtement… » Elle rentre dans la principale pièce de vie, libère d’abord les jumelles puisque l’autre a été vilain. C’est toi l’expert, j’aurais pas vérifié la moitié de ce que tu as fait. » Elle pourrait en profiter pour lui rappeler qu’il est vieux, elle ne le fait pas ; elle est, plutôt, reconnaissante. J’ai négocié avec le voisin du dessus pour internet, normalement… Tout est bon. » C’est une jeune de son âge — tant qu’il y a de l’électricité et internet, tout roule. Une vague de contentement la prend lorsqu’elle libère le chat noir, qui file se planquer sous le canapé alors que les autres s’approchent du balcon pour explorer, et elle sent qu’elle lui échappe ; se concentre, pour garder le sentiment pour elle, marmonne un Pardon. » avant de se cacher dans sa citronnade. C’est mieux d’assommer les gens d’un peu de joie, certes, et elle s’en sort mieux qu’il y a un an et qu’il y a quelques semaines mais… Elle a toujours un peu honte, de ne pas tout maîtriser et qu'elle déborde - tell someone you love them today, because life is short, but also scream at them in German, because life is also confusing and bienheureuxpseudo irl ael, accords neutresfaceclaim zoïa mossour, c labonairs av, bastet code signmultifaces elga, manosh, 72portrait inrp elle, accords jeune dévouée de Syrdon, divinité souhaitée, conséquences qu'elle a du mal à termine ses études pour être institutrice, étudiante, enseigne à une classe, petit boulot à la bibliothèque universitaire quelques soirs et définitivement un bon béguin, définitivement les sentiments c'est beaucoup à gérer pour futur une hermine, nom à définir. Dim 21 Aoû - 2242 P’t’êt’ bien que si, tout ce qui vient des Lukumon est indestructible. » Sauf leur vie, mais c’est de l’humour défaitiste et noir que tu ne te serais pas permis avec Liza qui n’en était pas très adepte. Tu la remercies d’un sourire et redépose le verre quelque part, le temps de faire le tour, de laisser une caresse pour les matous, de poser tes mains sur tes hanches pour observer l’espace à la recherche de ce que tu aurais pu manquer. Ah, tu veux pas ta propre connexion ? » Tu retires tes lunettes de ton nez et tu entreprends – enfin – d’étaler le gras qu’il y a dessus avec le bas de ton pull, un sourire toujours présent sur tes lippes, ourlant leur commissure dans quelque chose de presque vrai. Bah. » Tu bailles cette fois, remettant tes lunettes, non pas sur ton nez, mais sur ton front. Tu vas passer beaucoup de temps à t’excuser si tu l’fais à chaque fois que tu ressens un truc. » Tu te laisses tomber sur le canapé, un des chats lâchant un miaulement un peu offusqué à ton égard et tu t’étales bien dessus. Catilina vient se poser sur le dossier du canapé, jusqu’ici il a observé les chats en hauteur, s’attendant à être une proie s’il se rendait visible – même si la libellule est la reine des sprinteuses, face à quatre chats déterminés… Encore que vu l’état de pourri-gâté que sont ces pauvres bestioles, tu doutes de leur capacité à attraper une mouche. Tu voudrais ton propre familier ? Ca t’aiderait, peut-être. »_________________ Trust no you make jokes because you're afraid to take anything seriously ▬ Because if you take things seriously, they sans attachepseudo freyfaceclaim Enzo Cilenti Jenesaispas, gif cake&snouts, signa batphaniemultifaces Bazyli Morana + Aslan Tengri + Krishvy Kamadevamessages 407portrait statut Syrdon, solitaire suite à la destruction de son covenoccupation Arnaqueur professionnel spécialisé en possession de corps ; gérant d'une salle de sport / Catilina, une libellule Dim 21 Aoû - 2305Y’aurait à redire sur les Lukumon — la première étant qu’elle était prête à s’offusquer qu’il insulte, un peu, sa famille, avant de se rappeler que techniquement. La brune hausse les épaules à la question, Je capte très bien l’voisin, t’inquiète. » ça fait 4 barres reçues cinq sur cinq et le jeune homme au-dessus vit aussi seul donc ils peuvent diviser la note d’internet comme ça, c’est un début de cohabitation plutôt chouette. Les chats sont déjà moins pénibles maintenant qu’ils sont lâchés, et Liza est globalement satisfaite que ça signe la fin de son déménagement et des quelques travaux qui ont dû s’en suivre. la glace au citron au glacier au bas de la rue alors qu’il fait bien trop chaud et que la journée a été y a un arrière-goût qui se mélange au citron sucré, mais elle le tait quelques secondes. La sorcière ne peut certes pas s’excuser dès qu’une émotion la prend, mais si elle pouvait seulement éviter de l’imposer autour d’elle. Elle hoche la tête, essaie de chasser la pensée comme elle peut et d’éloigner les souvenirs de sa dernière catastrophe. Une libellule se joint aux animaux et elle la regarde, simplement ; comme elle regarde bêtement Pirro prendre possession de l’espace. Il est chez lui. Est-ce qu’il l’a encouragé à déménager seulement pour squatter son canapé ? Un sourire en coin apparaît, qu’elle chasse rapidement. Elle fronce les sourcils, à la question sortie de nulle part. Que, quoi ? » Que sait-elle sur les familiers ? Outre que celui de Jan est impressionnant, comme sa soeur, outre qu’il y a des fois où elle les voit et des fois où elle ne les voit pas, et le réveil avec un lapin qui mastique sa couette est quelque chose, outre que… Perdre Ioù a fait qu’on a perdu Maman, un peu, aussi ? Elle a déjà ses chats, pourquoi… Elle ne saisit toujours pas, elle le sait. Il faut aller dans un champ avec des hautes herbes, pour se trouver un familier, ou… ? » C’est soit ça, soit ils viennent seuls dans un moment de difficulté ; Liza ne s’est pas beaucoup posée de questions, n’a pas osé demandé et… Sa naïveté est toujours - tell someone you love them today, because life is short, but also scream at them in German, because life is also confusing and bienheureuxpseudo irl ael, accords neutresfaceclaim zoïa mossour, c labonairs av, bastet code signmultifaces elga, manosh, 72portrait inrp elle, accords jeune dévouée de Syrdon, divinité souhaitée, conséquences qu'elle a du mal à termine ses études pour être institutrice, étudiante, enseigne à une classe, petit boulot à la bibliothèque universitaire quelques soirs et définitivement un bon béguin, définitivement les sentiments c'est beaucoup à gérer pour futur une hermine, nom à définir. Dim 21 Aoû - 2316 Il faut aller dans un endroit dégagé, c’est bien un champ mais c’est pas obligé que ce soit… un champ. » Tu bailles encore, prêt à faire un petit somme, là, sur le canapé, de la même façon que tu as souvent vu ton propre père faire après le repas, après un exercice, après un travail, après avoir râlé que la jeunesse et ses grasses matinées. Tu croises les bras sur ton torse. Il faut surtout une clarine, pour l’appeler. » Catilina redécolle, sans que tu ne saches si c’est par ennui ou pour fuir la créature sous le canapé. Mais c’est pas obligé. » Tu as vu ce que la perte d’un familier pouvait faire à quelqu’un, tu l’avais senti et c’était probablement l’expérience la plus importante qu’avait eu Liza avec une de ces créatures. Catilina vous tourne autour, va finalement se poser sur ton verre de citronnade, que ce soit pour y attirer un chat dans un but chaotique ou pour goûter au sucre. Un familier n’est pas obligatoire. » Tu croises tes mains entre elles et les projette au-dessus de ta tête pour faire craquer plusieurs jointures. Enfin, c’est comme tu le sens, poupette, comme si t’as des questions. »_________________ Trust no you make jokes because you're afraid to take anything seriously ▬ Because if you take things seriously, they sans attachepseudo freyfaceclaim Enzo Cilenti Jenesaispas, gif cake&snouts, signa batphaniemultifaces Bazyli Morana + Aslan Tengri + Krishvy Kamadevamessages 407portrait statut Syrdon, solitaire suite à la destruction de son covenoccupation Arnaqueur professionnel spécialisé en possession de corps ; gérant d'une salle de sport / Catilina, une libellule Lun 22 Aoû - 756Elle plaisantait — BIEN SÛR QU’ELLE PLAISANTAIT !! Elle n’a peut-être pas mentionné les boules magiques pour capturer des créatures fantastiques et des combats avec des attaques éclairs mais ; le réflexe est de rire, voulant croire qu’il rentre dans son jeu mais il lui faut quelques secondes pour comprendre qu’il est sérieux. Sur le point de s’endormir, mais sérieux. Quoi ?! C’est vraiment comme dans Pokémon ? » Plus ça va, plus elle se demande ce qui est de la réalité dans les divers récits de fiction qu’elle a pu consommer en grandissant. Liza secoue la tête, les détails donnés sont… Comme d’habitude, avec Pirro, flous. Et pourtant il porte ses lunettes. Il faut faire ça, mais c’est pas obligé. Il faut que ce soit comme ça, mais c’est pas obligé. Du coup… On fait comment ? On sait pas — mais t’façon, ça aussi c’est pas obligé. c’est le puzzle infaisable au musée d’art moderne, c’est toujours rien piger en maths, c’est tomber amoureuse enfin peut-être j’sais pas j’y connais rien. La brune attrape le chat assorti au vol alors qu’il tente le sprint du dessous du canapé pour soit aller défoncer le grillage au balcon soit attaquer Cati. Elle souffle un peu des explications, grimace au surnom juste parce qu’il le faut elle a !! 22 ans !! bon sang ! mais hausse les épaules. Je ne comprends juste pas… » Elle commence, un peu incertaine, un monstre dans les pattes — elle pose une main sur le crâne du chat pour le calmer. J’ai déjà les chats, pourquoi… J’aurais besoin d’un autre familier, en plus ? »_________________ - tell someone you love them today, because life is short, but also scream at them in German, because life is also confusing and bienheureuxpseudo irl ael, accords neutresfaceclaim zoïa mossour, c labonairs av, bastet code signmultifaces elga, manosh, 72portrait inrp elle, accords jeune dévouée de Syrdon, divinité souhaitée, conséquences qu'elle a du mal à termine ses études pour être institutrice, étudiante, enseigne à une classe, petit boulot à la bibliothèque universitaire quelques soirs et définitivement un bon béguin, définitivement les sentiments c'est beaucoup à gérer pour futur une hermine, nom à définir. Lun 22 Aoû - 921Tu l’observes d’un regard circonspect, si tu avais tes lunettes sur ton nez, tu aurais même pris la pose de la bibliothécaire outrée, avec un regard méprisant par-dessus les verres. Catilina soupire et lâche une remarque sarcastique, pleine de fiel, comme il sait si bien le faire et tu lâches un claquement de langue à son intention. Il ricane et tu as toi-même un sourire en coin avant de retourner ton regard vers Liza et sa bande de fauves. Tu soupires et te recales bien dans le canapé. Peu importe comment tu considères tes chats, ça reste des animaux. Des jolies bestioles, pleines d’une grande dépendance à toi en l’état, mais des bêbêtes. » Les chats que tu avais eu, enfant, étaient des gros matous de kolkhoze, ou habitués à être dehors, où que vous ayez habités, ils n’étaient jamais à l’intérieur que lorsqu’ils en ressentaient l’envie ou le besoin, mais n’appartenaient en réalité qu’à ceux qui avaient leurs grâces du moment. Les chats de Liza étaient des créatures de confort, vivants avec elle et dépendant de son entretien. Un familier c’est… » Tu hausses les épaules, te frotte les yeux. Un esprit magique, un éclat, un fantôme en quelque sorte, qui ne sera lié qu’à toi, que toi seule pourra entendre. » Tu fermes les yeux, le temps d’une brève pause. Enfin, toi et les autres familiers. » Tu rouvres les yeux pour observer Liza. Vous aurez un lien émotionnel, il saura ce que tu ressens et vice-versa. Ils sont intelligents, capables de te parler, et ce sont de bonnes ancres pour ta magie. »_________________ Trust no you make jokes because you're afraid to take anything seriously ▬ Because if you take things seriously, they sans attachepseudo freyfaceclaim Enzo Cilenti Jenesaispas, gif cake&snouts, signa batphaniemultifaces Bazyli Morana + Aslan Tengri + Krishvy Kamadevamessages 407portrait statut Syrdon, solitaire suite à la destruction de son covenoccupation Arnaqueur professionnel spécialisé en possession de corps ; gérant d'une salle de sport / Catilina, une libellule Lun 22 Aoû - 1843La main sur la tête de Romeo se dépêche de baisser ses oreilles pour qu'il n'entende pas ce que Pirro ose dire. Il ose ! Qualifier ses adorables compagnons de vie de, quoi, animaux ?! De bestioles, de bébêtes ! Papa, je t'apprécie mais tu commences à aller un peu loin et je suis à ça », l'écart entre les doigts qu'elle montre est petit, de te mettre dehors. » On lui propose de poser des questions pour finalement la moquer et moquer ses boules de poils ?! Il y en a qui n'ont vraiment pas honte. Liza laisse Romeo repartir alors qu'il s'impatiente maintenant qu'il a vu les jumelles en train de miauler dehors. Les explications sont un peu plus détaillées, par la suite, mais... Parfois, elle pense sincèrement que la magie n'est qu'une hallucination collective et qu'on la drogue à l'opium depuis qu'elle est enfant. Ce serait, au moins, une explication... Logique, pas forcément plus saine que ce qu'elle avance mais au moins plus facile à appréhender pour son pauvre esprit étriqué. La libellule parle à Pirro et pourrait parler à, disons, ne fait pas sens ;incapable de trouver le mot dans les mots fléchés, les points ne se connectent pas, le code bancaire ne passe pas, mayday ses chats sont intelligents ! Non mais !! Je te signale que mes chats comprennent l'anglais, le français, et l'American Sign Language. » C'est le têtu qui ressort, en premier, alors que le sujet l'intéresse pourtant - c'est dans ses gènes bretons, elle n'y peut rien. Est-ce que mon familier serait un chat ? » Ce n'est peut-être pas la question à poser en priorité... Est-ce que ça aiderait vraiment... Avec ma magie ? »_________________ - tell someone you love them today, because life is short, but also scream at them in German, because life is also confusing and bienheureuxpseudo irl ael, accords neutresfaceclaim zoïa mossour, c labonairs av, bastet code signmultifaces elga, manosh, 72portrait inrp elle, accords jeune dévouée de Syrdon, divinité souhaitée, conséquences qu'elle a du mal à termine ses études pour être institutrice, étudiante, enseigne à une classe, petit boulot à la bibliothèque universitaire quelques soirs et définitivement un bon béguin, définitivement les sentiments c'est beaucoup à gérer pour futur une hermine, nom à définir. Lun 22 Aoû - 1857Tu lui souris paresseusement, l’œil fatigué, prêt à faire ta meilleure sieste de la semaine sur le canapé qui avait été celui de Jorji et Alysha. Tu fais un signe de main lorsqu’elle défend avec véhémence les capacités intellectuelles de ses chats – tu ne doutes pas que l’un ou l’autre brille un peu plus que ses congénères mais tu ne parierais sur aucun face à un familier. Ton familier sera … » Tu te grattes le cuir chevelu, observant un moment vers l’extérieur, essayant de trouver les mots justes en anglais. Non, ça ne sera peut-être pas un chat, tu n’en es pas un. » Tu lui souris, Liza c’est plus une souris, une loutre, une hermine, quelque chose de doux, de malheureux, qui essaie de se grossir mais fuit devant l’adversité – ce qui, pour toi, n’est certainement pas un défaut. Ton familier prendra la forme qui te représente le plus. Et des gens que je connais qui ont pour familier un chat, je ne peux pas te dire que ce soient les personnes les plus sympas. » Cela dit, peut-être que tu les as connus trop tard dans leur vie et que tu as une opinion trop tranchée sur la chose. Tu recroises les bras, mettant cette fois tes jambes sur le canapé. Oui, je pense que oui, déjà il saurait quand tu commences à partir en couilles et pourrait t’arrêter. Et puis il aura sûrement de bons conseils de magie ou de zen à te donner, tu vas voir c’est l’éclate. » Tu ôtes tes lunettes pour les poser sur le dossier du canapé. Après ça dépend si tu tombes sur un casse-couilles, mais on est pas tous motivés par les mêmes choses. »_________________ Trust no you make jokes because you're afraid to take anything seriously ▬ Because if you take things seriously, they sans attachepseudo freyfaceclaim Enzo Cilenti Jenesaispas, gif cake&snouts, signa batphaniemultifaces Bazyli Morana + Aslan Tengri + Krishvy Kamadevamessages 407portrait statut Syrdon, solitaire suite à la destruction de son covenoccupation Arnaqueur professionnel spécialisé en possession de corps ; gérant d'une salle de sport / Catilina, une libellule Lun 22 Aoû - 2102Liza comprend, un peu difficilement, qu’elle ne pourrait pas choisir l’apparence du familier ; qui lui ressemblera, sous forme animale. Les yeux s’écarquillent. Comme… L’animal totem ?! Dans Frère des Ours ? » Il faut vraiment que quelqu’un l’éduque et qu’elle arrête de tout comparer à des dessins animés, aussi. Elle a envie de bouder, un peu, qu’elle aime les chats, que c’est pas juste. Elle sait encore qu’il lui manque trop d’informations pour se permettre d’enfoncer le clou. Il va la croire idiote. Mais… » Elle commence à protester, se tait pour ne pas manquer les explications. Une entité magique pourrait l’aider à contrôler sa magie, c’est entre le coach de méditation et Gandalf. Elle secoue un peu la tête, alors que Pirro s’apprête à s’endormir. Pas besoin de familier pour prendre une grande inspiration et décider d’aller cajoler ses chats, sur le balcon, plutôt que de s’agacer pour ;Elle repense aux premières fois où elle était confronté à trop de monde, au fait que même Janig était trop pour elle, qu’elle a dû déménager, qu’elle vit seule depuis des mois pour !, alors qu’elle déteste la solitude, et en même temps ! ; elle repense aux après-midi perdues à chouiner, pour rien, aux larmes partagées avec les enfants, au peu de sérénité qu’elle a à côté de Pirro, ou Tim, mais qui n’est définitivement plus la sienne ; et cette fois à la bibliothèque… Elle est plus agacée que prévue, quand elle attrape Oba en train de grimper au grillage pour la reposer par est convaincu qu’un compagnon de route l’aiderait avec sa magie, pourquoi ne lui a-t-il pas proposé plus tôt d’en avoir un ?_________________ - tell someone you love them today, because life is short, but also scream at them in German, because life is also confusing and bienheureuxpseudo irl ael, accords neutresfaceclaim zoïa mossour, c labonairs av, bastet code signmultifaces elga, manosh, 72portrait inrp elle, accords jeune dévouée de Syrdon, divinité souhaitée, conséquences qu'elle a du mal à termine ses études pour être institutrice, étudiante, enseigne à une classe, petit boulot à la bibliothèque universitaire quelques soirs et définitivement un bon béguin, définitivement les sentiments c'est beaucoup à gérer pour futur une hermine, nom à définir. Lun 22 Aoû - 2107 Moui, voilà… Ou comme le livre là, avec la petite fille qui va au pôle nord. » Tu bailles doucement à nouveau, ferme les yeux et fait mine de dormir. Difficile quand la gamine est pleine de rage, de frustration et de rancœur, pas besoin de bouger pour la ressentir. Tu as une brève pensée pour Petrova, puis pour Baltazar, avant de mieux te caler dans le canapé et piquer un petit somme. Tu as des choses à lui dire, mais elle est pour l’instant en pleine réflexion et sauvetage, elle a besoin de son moment de solitude et tu es parti dans les bras de tu ne sais quelle divinité – Syrdon, peut-être – en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Tu ne reviens à toi qu’un long moment plus tard, un chat sur ta poitrine qui ronronne tout ce qu’il peut et tu geins un peu, l’invitant dans un mélange de langues à aller se trouver une autre patte à pétrir. Tu ne fais rien pour le bouger, les bras le long du corps à fixer le plafond, vaguement nauséeux mais un peu moins épuisé. Liza ? Mes lunettes ? Elles sont où ? »sorciers sans attachepseudo freyfaceclaim Enzo Cilenti Jenesaispas, gif cake&snouts, signa batphaniemultifaces Bazyli Morana + Aslan Tengri + Krishvy Kamadevamessages 407portrait statut Syrdon, solitaire suite à la destruction de son covenoccupation Arnaqueur professionnel spécialisé en possession de corps ; gérant d'une salle de sport / Catilina, une libellule 104j'aime, 5 commentaires. Vidéo TikTok de Cynthia Brun (@cynthiabrun1905) : « Vis ma vie de maman célibataire !!! Il n’y a que mon chat qui me supporte ! #mamansolo #mamandado #separee #seule #chaton #ecailledetortue #celibattante #justepourrire #fun #delire ».
Vendredi 18 Mars 2022 Par Ludivine Mazzotti Ils portent secours à une maman chat et ses deux petitsAu mois de février, une chatte du nom de Ally a décidé qu'elle en avait assez de vivre dans les rues. La jolie chatte blanche a choisi une maison en Caroline du Nord pour demander de l' paires d'yeux devant la vitre Accompagnée de ses deux chatons, la chatte s'est présentée devant la fenêtre d'une maison pour mettre ses petits et elle-même en sécurité. Les trois chats étaient donc posés devant la vitre, attendant patiemment d'être secourus. Lorsque la dame qui vivait dans cette maison a regardé par la fenêtre, elle n'a pas pu retenir un cri de surprise trois paires d'yeux la fixaient avec attention. La dame a eu le réflexe d'appeler l'association de sa ville Sparkle Cat Rescue pour obtenir de l'aide. L'équipe du refuge s'est rendue sur place pour venir en aide à Ally et ses chatons. Ils découvrent autre chose Mais en accueillant la chatte au refuge, les sauveteurs se sont rendus compte qu'Ally leur réservait encore une surprise... La maman chatte était de nouveau enceinte ! Le refuge a fait appel à un autre refuge pour accueillir la portée d'Ally. Ils lui ont trouvé une famille d'accueil pour permettre à Ally de passer son dernier trimestre sereinement. 5 chatons en bonne santé Ally s'est tout de suite sentie chez elle au sein de sa famille d'accueil et adore les câlins. Elle a récemment donné naissance à 5 petits chatons et prend soin d'eux avec énormément d'attention. Bonne nouvelle Gus et Spencer, les chatons plus âgés d'Ally ont été adoptés ensemble. Dans quelques mois les petits chatons seront aussi disponibles à l'adoption, ainsi qu'Ally. Nous leur souhaitons à tous une très belle route !À lire aussi Le chat porte une chose dans la gueule elle pense qu'il revient de la chasse puis comprend son erreur vidéo chaton, sauvetage, chat errant, famille d'accueil
Lesmiaulements peuvent varier entre les petits » gazouillis » que maman chatte émet pour appeler ses petits, aux longs miaulements typiques du chat qui a faim et réclame à manger. Identifier les miaulements pour comprendre son chat. Tout propriétaire apprend en général, au fil de la cohabitation avec son chat, à distinguer le sens des diverses vocalises. Que
Bonacera , Mi Kiamo Sillya und du ? , Apart form that , Qué tal ? COUPEZ !! * Mer*e bon on l'a r'fais Bonjours, Bonsoir, Bienvenue dans mon Emission . Commençons par les news . V'la . Cachie , a eu une moyenne Générale de 18, 75 Bouf ! L'intello . * C'est par ce que s'est ma Cachietounette hein ? xD*... Notre amies , ... Neptune ... s'est cassé les bras, en plus de sa pneumonie ...; honoré la , xD Voici une fofo .Elle date d'un ans .. .Sorry . SpoilerSinon ... J'suis de retour = Ma soeurette Starlight ouvre son atelier .... Alors ... Sinon, une story hein xDHéron se leva souplement et s’étira lentement. Ses yeux encore bouffis de sommeil détaillèrent les environs pourtant familiers. Il était dans la grotte où dormaient la plupart des mâles adultes, comme lui en somme. Beaucoup étaient encore dans les bras de Morphée, au vu de leurs flancs qui se soulevaient à un rythme régulier. Il sourit légèrement avant de sortir. Un timide soleil apparaissait lentement à l’horizon. Il parait de milles nuances orangés les quelques nuages cotonneux qui flottaient nonchalamment dans le ciel. Une légère brise soufflait, ébouriffant presque avec délicatesse son pelage roux. Il savoura un instant cette dernière en fermant les yeux avant de se diriger en trottinant vers le tas de gibier. Le félin y préleva une souris dodue qu’il avala goulûment en deux coups de crocs. Il était en train de se pourlécher les babines quand un bruit derrière lui le fit sursauter. Il se retourna rapidement pour voir sortir de la tanière, son rival, son pire ennemi, Eclair qui déchire le lui jeta un regard noir. Il le détestait, le haïssait de plus profond de son être. Pendant quatres saisons, ils s’étaient battus avec acharnement pour les beaux yeux de Cascade où pleurent les étoiles. Magnifiques yeux… Si verts, mêlés à une pointe de bleu subtile. Aussitôt, l’image de la belle chatte s’imposa devant ses yeux. Héron qui tournoie dans le ciel avait encore du mal à croire que c’était lui que sa reine avait choisi. Lui, l’humble fils du chef d’apparence si fragile. Mais chaque jour passé dans ce bonheur si parfait, au goût de miel, renforçait l’idée que son amour fou était réciproque. Surtout que Cascade était enceinte. Il sourit de bonheur à cette pensée. Le fruit de leur amour, la chair de sa chair…Eclair lui jeta un sourire narquois qui lui fit froid au dos. Il secoua la tête légèrement pour chasser cette sensation. Il n’avait plus rien à craindre de son rival. C’était lui qui avait remporté la partie. Pas l’autre. Héron l’ignora donc et alla plutôt voir sa si belle passa la tête à travers le rideau de lierre qui protégeait l’endroit où dormaient les porteuses. Une forme endormie attira aussitôt son regard. Il eut un doux sourire. Son ange dormait doucement, son beau visage détendu par le sommeil. Le chat s’avança lentement, veillant à ne pas faire de bruit. Il frotta tendrement son museau contre le cou de sa belle. Celle-ci grommela dans son sommeil. Ses paupières se soulevèrent et deux perles émeraudes qui faisait chavirer le cœur de notre brave guerrier apparurent. Cascade eut un doux sourire en le voyant pencher sur elle. Confus de l’avoir réveiller alors qu’elle devait se reposer, il lui dit - Oh, je suis désolé, Cascade, je ne voulais pas te Ce n’est pas grave, mon tout beau. Maintenant que je suis réveillé, autant me lever pour aller manger ! Oh, au fait, je vais devoir m’absenter dans une petite heure. J’ai prévu un après-midi entre amies. Tu sais ce que c’est, entre porteuses, on parle de choses et d’autres…Il sourit, heureux de voir un beau sourire illuminer le visage de son ange. Sûrement, se réjouissait-elle à la pensée de cet après-midi entre amies. Cascade s’absentait assez souvent, ces derniers temps. Mais loin d’en être offusqué, Héron en était plutôt heureux. Tout ce qu’il voulait, c’était le bonheur de sa belle. Et si sa compagne voulait passer autant de temps avec ces amies, pourquoi l’en empêcher ?Quelques jours plus tardUn hurlement de douleur vint déchirer l’air et par la même occasion, le cœur d’Héron. Sous ses yeux, sa compagne se tortillait au sol, pattes écartées, poussant le plus possible leurs enfants vers le monde. La peur lui vrillait les entrailles, les comprimant de ses grandes mains. Cascade perdait du sang, beaucoup de sang. Et il ne pouvait rien faire !! Juste lui lécher son pelage trempé de sueur et lui chuchoter des paroles apaisantes à l’ Ne t’inquiète pas, Cascade, tout va bien se passer, je te le Héron savait très bien qu’il ne devait pas être très convaincant, étant donné que sa voix tremblait et partait dans les aigues vers la fin. Il déglutit difficilement, les yeux emplis d’angoisse. Et s’il la perdait pour toujours ? Non, ne pas penser à ça. Cascade où pleurent les étoiles était forte et elle s’en sortira. Pourtant, lui-même avait dû mal à croire ses propres paroles intérieurs ! La soigneuse s’affairait autour de son ange, l’encourageant de la voix, lui faisant mâcher des graines de pavot pour atténuer la douleur. Héron la suivait du coin de l’œil. Il voyait bien qu’elle tentait d’être optimiste mais la peur gagnait de plus en plus sur le visage d’Hirondelle. *Oh non, pitié, faites qu’elle s’en sorte, pitié…*Soudain, un petit corps vint s’échouer sur le sol battu de la tanière. Héron abandonna un instant sa douce pour se précipiter vers son enfant. Hirondelle volant dans le ciel lui demanda de le lécher le plus longuement possible avant de se retourner vers Cascade pour l’aider à sortir le prochain. Le félin baissa les yeux sur le chaton qui tendait vers lui son petit museau rose. Il passa un grand coup de langue rugueuse sur son fragile corps, veillant à ne surtout pas lui faire de mal. A première vue, il s’agissait d’une fille. Elle avait un pelage où le roux et le blanc se mélangeaient subtilement. Le mélange de ses parents… Héron sentit le bonheur gonfler son cœur un bref instant avant qu’un hurlement de Cascade vint le percer. Il était là, à contempler sa fille alors que son ange se tordait de douleur et goûtait de trop près à son goût la mort. Aussi, il lécha plus rapidement la nouvelle-née, y mettant tout de même tout l’amour qu’il était capable. Puis le chat roux la déposa délicatement au sol. Elle s’était endormie, fatiguée par l’effort qu’elle avait dû fournir pour sortir du ventre de sa mère et sous les coups de langues réguliers d’Héron. Il eut un tendre sourire avant de se précipiter vers Cascade. Celle-ci venait d’expulser un deuxième chaton. Il avait un pelage aussi noir que du charbon et on pouvait deviner par son ossature qu’il deviendrait un guerrier musclé et imposant. Tout le contraire de son père en fait… Héron qui tournoie dans le ciel chassa vivement cette pensée, décidant qu’elle n’avait pas lieu d’être. Les flancs de Cascade arrêtèrent peu à peu leur mouvement effréné pour reprendre un rythme normal. Hirondelle poussa un soupir de soulagement et eut un sourire de contentement. Il sentit le bonheur irradier tout son être, partant de son âme jusqu’à toucher son cœur. Cascade allait bien. Elle n’était pas morte. Sa compagne avait réussi à mettre au monde deux magnifiques chatons qui semblaient tout deux en bonne santé. Tout allait bien, se dit-il en attrapant délicatement le deuxième né entre ses pattes et lui prodiguer le même doux traitement qu’il avait donné à sa jours plus tardHéron qui tournoie dans le ciel posa un regard tendre sur ses deux enfants qui tétaient avidement le lait nourrissant de leur mère. Chaque jour, il ne cessait de s’émerveiller devant sa petite famille. De sa si belle compagne, de son ange. De son fils et sa fille. Il avait l’impression que jamais la vie ne lui avait paru aussi belle, l’avenir aussi prometteur de nouveaux jours après l’accouchement, Cascade et lui avait choisi les noms de leurs enfants. Sa compagne avait fermement insisté pour que leur fils s’appelle Ciel gris avant l’orage. A tel point qu’Héron s’en était demandé la raison avant de chasser rapidement cette interrogation. Elle avait dû avoir un coup de cœur pour ce nom, tout simplement. Lui ne l’aimait pas tellement mais il avait laissé Cascade l’appelait ainsi, ne voulant que lui faire plaisir. Par contre, Cascade lui avait laissé pratiquement carte blanche pour leur premier enfant. Héron avait donc porté son choix sur Coquelicot qui fleurit au printemps, en honneur à la couleur rousse du pelage de sa fille. Tout était parfait…Soudain un miaulement le tira de ses pensées. Coquelicot avait glissé du ventre chaud de Cascade et tentait maladroitement d’y remonter. Le félin roux eut un doux sourire et donna un coup de museau délicat au petit corps pour l’aider à se remettre à son ancienne place. C’est à ce moment là où sa fille tourna sa petite tête vers elle. Et elle ouvrit lentement ses paupières pour la première fois. Héron savait que les petits naissent aveugles et n’ouvrent les yeux qu’une quinzaine de jours après leur naissance. Aussi, ne s’en n’était pas paupières légèrement fripées de Coquelicot dévoilèrent petit à petit de petits yeux légèrement cerclés de noir. Ses pupilles étaient d’une magnifique teinte ambré avec peut-être une pointe de vert dans le fond. Encore un mélange entre lui et Cascade sauf que cette fois ci, c’était Héron qui avait l’avantage. Il sourit tendrement et lécha le petit museau de sa fille qui miaula doucement. Puis elle se détourna et partit téter avec application la mamelle gorgée de Tu as vu, elle a ouvert les yeux, murmura t-il à Cascade- Oui, j’ai vu. Elle a tes yeux. Ciel ne devrait pas tarder à les ouvrir en effet, deux heures plus tard, alors qu’Héron surveillait ses petits qui exploraient maladroitement, sur leurs courtes pattes, la tanière des porteuses, les paupières de Ciel décidèrent de s’entrouvrir. Le mâle se rendit compte avec stupeur que son fils avait des yeux bleus très vifs. *Comme ceux d’Eclair…* Il chassa rapidement cette pensée de sa tête. Cela devait être qu’une coïncidence. Malheureusement, l’avenir lui dira qu’en fait, cela n’en était pas son rival entra dans la tanière. Et comme s’il avait entendu ses pensées, il dirigea son regard hautain vers lui. Il frissonna, n’aimant pas du tout la lueur moqueuse qui y brillait. Héron attira vers lui, ses enfants comme les protéger. En voulant rapatrier Ciel qui reniflait avec curiosité les pattes d’Eclair, il fut frappé par la ressemblance entre les deux. Mêmes pelages noirs comme du charbon, mêmes yeux bleus, mêmes carrures bien que celle de son fils ne soit pas encore développé. Mais était ce bien son fils ? Le doute s’insinua en lui, tel un serpent perfide. Puis, il secoua la tête, rit presque intérieurement de sa propre bêtise. Voyons, jamais Cascade lui fairait une chose pareille !- Que viens-tu faire ici ?!, lança t-il, énervé, à Eclair qui déchire le Oh moi ? Je viens voir ta progéniture…, répliqua ce dernier d’un ton Et bien, tu l’as vu, maintenant tu t’en vas !- Mais dis moi, mon cher ami, comment s’appellent tes deux jeunes enfants ?, demanda Eclair, ignorant la remarque d’ chat roux haussa un sourcil, soupçonneux. Pourquoi ce soudain intérêt pour les deux chatons ? Qu’avait-il donc en tête ? Si Héron avait appris quelque chose des quatres saisons qu’il avait passé à se battre contre son pire ennemi, c’était bien de ne jamais sous-estimé ce dernier. Il lui répondit tout de même, ne voulant pas déterrer la hache de guerre - Celui-là s’appelle Ciel gris avant l’orage et la chatonne à côté se nomme Coquelicot qui fleurit au Bien, parfait… En voilà, des jolis noms !Héron sentit les poils de son échine se hérisser. Il n’avait pas du tout apprécié le parfait » d’Eclair. Il montra les dents et dit - Et maintenant, vas t-en, j’aimerais mettre mes petits à la sieste !Ce qui est tout à fait faux étant donné qu’on était en plein milieu de la matinée. Mais Eclair sembla comprendre le message car il quitta la tanière, un léger sourire flottant sur les lèvres. Héron fronça les sourcils. Il avait un mauvais pressentiment. Et son instinct ne s’était jamais trompé…Tard le soirLe chat enfouit son museau dans le doux pelage blanc de Cascade. Serrés l’un contre l’autre, ils veillaient sur leurs deux petits qui dormaient profondément contre le ventre chaud de leur mère. Héron respira profondément le doux parfum de son aimée. Le doute n’avait pas quitté son esprit depuis la visite d’Eclair, à son grand désarroi. Mais ici, collé contre Cascade, il se rendait compte combien il était stupide de douter d’elle. Il culpabilisait même de l’avoir Tu pourras garder Coquelicot, demain ? Je vais faire un petit tour avec Ciel, demanda t-elle Pourquoi n’emmènes-tu pas Coquelicot avec toi ? Elle sera contente !, questionna Héron, sentit sa compagne se raidir contre lui. Elle devait sûrement être fatiguée…- Je ne suis pas sûre de pouvoir protéger Ciel et Coquelicot en même temps ! Tu sais très bien que c’est dangereux hors du camp ! Veux-tu vraiment mettre nos petits en danger ?!Le félin fut tellement surpris du soudain éclat de colère de sa belle qu’il se mit à balbutier - Oui, oui…. Bien sûr… excuse Ce n’est rien, le rassura Cascade en frottant son museau contre son lui sourit, rassuré. Oui, il avait vraiment été stupide de dire ça !- Mais si tu veux, après, on pourra aller chasser. Rien que tous les deux, proposa sa Oui, ce sera cool !Puis, heureux comme un roi, il se cala confortablement contre Cascade et finit par s’endormir…Le lendemain matin, pendant la chasseHéron se figea soudainement. Ses narines avaient senti le fragile parfum d’une souris. Il pointa les oreilles en avant. Là, il entendait le tempo rapide du petit cœur. Le chat se mit aussitôt en position de chasse, pattes fléchies, l’arrière-train relevé, tous les sens en éveil. Il se coula silencieusement vers les racines où se cachait le malheureux rongeur. Il la voyait à présent. L’innocente proie grignotait des noisettes en ne se doutant aucunement du danger. C’est à ce moment là qu’Héron bondit et l’acheva d’un coup de dents bien placé. Fier de lui, il sourit et prit le rongeur dans sa gueule. Une odeur bien connue arriva alors à son nez et Héron lança un regard tendre vers Cascade qui venait de sortir des buissons, une musaraigne entre les dents. Le félin trottina vers elle et lâcha son gibier pour lécher l’oreille de sa douce. Au moment où celle-ci allait répondre à son geste affectueux, un bruissement bruyant dans les fougères alertèrent les deux guerriers. Ils se retournèrent d’un même mouvement pour voir arriver Eclair qui déchire le ciel, une proie lui aussi dans la gueule. Héron grommela dans sa barbe. *Décidément, il arrive toujours au mauvais moment !* Il détourna la tête de son rival et la baissa pour rattraper sa pauvre souris qui avait échoué au sol. En même temps, il surveillait du coin de l’œil son ennemi, au cas où celui-ci l’attaquait par derrière, comme il l’avait souvent fait. Ce qu’il vit le stupéfia plus qu’autre chose. Eclair faisait un clin d’œil appuyé à Cascade ! Et surtout celle-ci ne disait rien ! Jaloux au possible, il se retourna brusquement et montra les crocs - Qu’est ce que tu viens faire ici ?, demanda Héron Oh, tout doux l’ami ! La forêt n’est pas qu’à toi ! Je suis ici que par hasard, se défendit son allait rétorquer que justement il ne croyait pas que ce soit un hasard mais Cascade lui donna une tape avec la patte sur l’épaule. Il se retourna, surpris et elle lui lança un regard furieux avant de tourner les talons. Plus que perplexe, il se lança à sa poursuite, en oubliant complètement sa félin roux la rattrapa facilement et la retourna face à lui presque avec colère - Mais qu’est ce qui se passe à la fin, Cascade ?!- Tu me demandes ce qui se passe ?? Il se passe que j’en ai plus qu’assez que tu t’acharnes sur Eclair ! Il faudrait peut-être arrêter et grandir un peu, tu ne penses pas ?Héron n’en croyait pas ses oreilles. Elle le défendait ! Elle défendait le chat le plus haïssable au monde ??!- Moi, je m’acharne ?! Mais c’est lui ! Non mais tu as vu aussi bien que moi le clin d’œil qu’il t’a lancé !Dès que les mots eurent franchi ses lèvres, il vu avec stupeur le visage de Cascade se décomposer. D’un coup, toute sa colère le quitta. Il n’en restait plus qu’une grande tristesse car il s’apercevait bien qu’il avait blessé son aimée. Comment, il ne savait pas trop. Il n’en avait même pas la moindre idée. Mais le simple fait de savoir que c’était lui, le responsable de la soudaine pâleur de Cascade lui retournait le cœur - Ecoute, je suis désolé. Oui, tu as tout à fait raison, il faut que je grandisse. Et pour le clin d’œil, cela doit être encore une de ses tentatives de séduction minables ! Avec le temps, on finit par s’y habituer !Un maigre sourire vint flotter sur les lèvres de Cascade, ce qui le remplit de joie. Il se serra contre elle et en retour, celle-ci frotta sa tête contre son cou. Mais là où il aurait penser pouvoir trouver l’apaisement, et ben non ! Ses doutes se mirent tourbillonner dans sa tête en une ronde folle. Il en était presque malade. Il était sûr que Cascade avait vu le clin d’œil. Mais pourquoi ne s’était-elle pas offusquée ? Pourquoi l’avait-elle défendu, elle qui disait le haïr autant que lui ? Et surtout pourquoi son fils ressemblait tant à Eclair ? Sans qu’il le veuille vraiment, cette question arriva à ses lèvres et évidemment, c’est sans aucune résistance qu’elle réussit à les franchir - Dis, tu trouves pas que Ciel ressemble vachement à Eclair ?Aussitôt, Héron sentit son ange se raidir brutalement. Le frottement contre son cou se mit beaucoup moins chaleureux. Mais c’est d’une voix désinvolte qu’elle répondit - Oh, cela doit être une simple coïncidence, rien de grave !- Oui sûrement, murmura t-ilEt pourtant, il n’arrivait pas à se convaincre lui-même…Deux semaines plus tardDeux semaine avait passé. Toujours remplie de bonheur. Et pourtant, le doute n’avait toujours pas quitté l’esprit de notre brave guerrier. Il avait même augmenté. La nuit, il avait beaucoup de mal à s’endormir tant toutes ses questions tourbillonnaient dans sa tête. *Voyons, jamais elle ne ferait une chose pareille !* Agacé au possible de douter de sa belle, il secoua la tête pour chasser ses pensées mauvaises et reporta son attention sur la tâche qu’il faisait. A savoir, surveiller Coquelicot. Ces derniers temps, il surveillait très souvent sa fille. Mais loin de lui l’idée que ce soit une horrible tâche ! Au contraire, il adorait rester avec son enfant. Celle-ci commençait à parler de plus en plus distinctement bien qu’elle est encore du mal. Mais Coquelicot était une gamine très éveillé, toujours en train de bouger ! Elle était curieuse de tout et Héron était vraiment fier d’elle. Il posa un regard tendre sur sa fille qui, pour une fois, était assise face à lui. Elle fronçait les sourcils, comme si quelque chose la perturbait. Soudainement, elle lui demanda - Papa, pourquoi est ce que maman emmène toujours Ciel faire un tour et pas moi ?Il fut tellement surpris par sa question qu’au début, il resta sans réaction. En vérité, il n’avait pas la réponse. Héron voulut au départ lui mentir pour la protéger mais en voyant l’air grave de sa fille, il se dit qu’il valait mieux dire la vérité. Et puis, de toute façon, il était incapable de lui mentir - Je ne sais pas, ma puce. Je ne sais pas…Il sentit une profonde tristesse l’envahir. Pourquoi Cascade agissait ainsi ? Parfois, il ne savait même plus ce qu’il croyait… *Non, elle n’est pas capable d’une chose pareille !*- Papa, dis jamais tu m’abandonneras hein ? Tu me le promets ?!Les simples paroles de Coquelicot l’ébranla plus que tout autre chose dans sa vie. Jamais, non jamais, il se le promettait, jamais il ne pourra faire de mal à sa fille. Jamais, il ne l’abandonnera. Il la protégerait, quoi qu’il lui en Je te le promets, Coquelicot. Jamais, je ne t’abandonnerais. C’est lui donna un coup de langue affectueux. Sa fille lui fit un sourire lumineux qui lui réchauffa le cœur. Oui, quoi qu’il arrive, il sera peu plus tard dans la journéeHéron se retourna vers Cascade et lui sourit. Ils étaient tous les deux en train de manger tranquillement, surveillant du coin de l’œil Ciel et Coquelicot qui jouaient ensemble. Si un observateur extérieur regarderait cette scène, il ne verrait qu’une famille heureuse. Il ne serait pas que dans la tête du mâle, des millions de doutes s’agitaient furieusement. Et que celui-ci s’évertuait à les faire taire en se répétant mille fois que sa belle n’était pas un monstre ! Et surtout que derrière le masque de la gentille compagne se cachait quelqu’un d’autre. Mais laissons là cet observateur trop peu discret, concentrons nous sur avait décidé de parler avec Cascade. Au moins lui demander de porter plus d’attention à Coquelicot ! De là à lui parler de ses doutes. Il trouvait déjà cela stupide d’y penser alors d’en parler…- Dis moi Cascade, ce serait bien que tu amènes Coquelicot avec toi un moment et que tu me laisses Ciel, non ?Il vit sa belle se figer brusquement avant de se détendre et de continuer à manger mais tout de fois avec une certaine Tu as tout à fait raison ! Je comptais les amener tous les deux pour une petite promenade, demain. Si ça ne te dérange pas de me les laisser… seul à Oh, oui bien sûr, y’a pas de problème ! Tu ne te sens plus fatiguée ?- Non, ça va mieux aujourd’ lui sourit avec bonheur. Non, il n’avait aucune raison de s’inquiéter !Le lendemainHéron finit tranquillement sa souris. Le soleil le réchauffait aimablement pour un début de septembre et il faisait un temps idéal. Un temps pour faire la sieste… Malheureusement, il devait aller la chasse. Le chat grommela un instant avant de se lever en s’étirant. Cascade venait juste de partir avec leurs enfants qui gambadaient joyeusement autour d’elle. Cela le rassurait que sa compagne se rapproche un peu plus de Coquelicot. Il sourit légèrement avant de se diriger en trottinant vers la sortie du camp. Le félin aux yeux ambres passa lestement le tunnel d’ajoncs pour déboucher sur un petit ravin. Alors qu’il allait emprunter le chemin qui menait à son terrain de chasse préféré, un bruit de voix le fit dresser les oreilles. Un bref instant lui suffit pour reconnaître la voix grave d’Eclair. Héron décida aussitôt de l’espionner. Il ne faisait aucunement confiance à son rival. Aussi, le chat se coula en direction des bruits de voix, aussi silencieux qu’une araignée qui marche sur sa toile. Il se cacha derrière les buissons épineux et tendit les oreilles pour capter les paroles - … elle ne supportait plus ses œillades stupides d’amoureux transis !, dit la voix grave qu’Héron avait identifié comme celle d’Eclair- Mais tu crois vraiment qu’elle aura le cran de tuer sa propre fille ??, demanda une autre voix plus chat roux se rapprocha un peu plus. Un meurtre ? Une mère qui allait tuer sa fille s’il comprenait bien. Eclair fit une petite pause avant de déclarer - Je pense que Cascade en est tout à fait capable. Elle est prête à tout pour que mon fils soit pauvre petit cœur d’Héron se figea dans sa poitrine. Il avait bien entendu, cela il n’y avait aucun doute. Non, c’est impossible. Des sueurs froides lui coulèrent dans le dos tandis que les paroles de, sûrement, l’ami d’Eclair arrivèrent à ses oreilles - Si tu le dis… Il faut dire qu’elle mène ce sale fils à papa d’Héron part le bout du nez. Dès qu’il apprendra la mort de sa fille, il se suicidera sûrement et tu n’auras pas besoin de le tuer !Les yeux d’Héron s’écarquillèrent. Il se recula précipitamment, se foutant pas mal de savoir si les deux complices l’avaient entendu. *Non, Cascade ne fera jamais ça…* Sa respiration se fit hachée sous la peur panique qui l’envahissait. Ses pattes se mirent alors en mouvement, comme s’il les contrôlait plus. Comme si une force invisible les tirait, les faisait avancer. Il se rendit rapidement compte qu’il pistait l’odeur subtile de Cascade. *Juste pour vérifier, rien de plus…*Il arriva rapidement à la clairière où Cascade avait amené Coquelicot et Ciel. Les deux petits courrait avec enthousiasme autour de leur mère. Celle-ci était assise, dos à Héron ce qu’il fit que celui-ci ne voyait pas l’expression de visage. *Je suis vraiment stupide de douter d’elle, Eclair ne raconte que des bêtises !* Héron allait partir quand la voix de Cascade parvint à ses oreilles - Bon, maintenant, on va jouer à un jeu. Ciel va te cacher et Coquelicot et moi, on va essayer de te trouver. Mais surtout, tu te caches très très loin, d’accord ?- Oui, maman !Héron ne pouvait plus décoller les pattes du sol. Pourquoi Cascade voulait subitement jouer à un cache-cache, elle qui ne supportait pas ce genre de jeu ?? *Oh, elle doit sûrement faire un effort pour ses enfants !*Et pourtant, le félin resta derrière son arbre, les yeux fixés sur sa belle. Celle-ci tournait en rond dans la clairière, comme pour patienter. Coquelicot, quand à elle, s’amusait à poursuivir un papillon qui voletait doucement. *Voilà, pas de quoi s’inquiéter, elle attend simplement*Soudainement, Cascade se retourna d’un coup vers sa fille. Héron pouvait à présent voir son visage. Il était défiguré par la haine et la rage. Son cœur s’affola dans sa cage thoracique. Une lueur de folie brillait dans les si beaux yeux de son ange. *Non, c’est impossible, elle ne peut pas faire ça, c’est un cauchemar* Et soudain, Cascade bondit sur Coquelicot, toutes griffes Héron, c’était comme si le temps s’était arrêté et qu’il se diluait, s’étirait à l’infini. Les yeux écarquillés, la respiration bloquée, il regardait avec horreur sa compagne se jeter sur sa fille. Cette dernière lança un regard effrayé à sa mère et miaula de peur. Sans une once de pitié, Cascade l’envoyait bouler d’un coup de patte contre un rocher. La petite se cogna violemment contre la pierre et ne se releva bruit mat que fit le petit corps contre la pierre tira le félin de sa torpeur, se répétant en boucle dans sa tête. Bam, bam, bam… Son corps se tendit subitement avant de bondir. Il avait l’impression de flotter, de n’être plus qu’un grotesque pantin sur qui on tire les fils. Il était le spectateur de sa propre vie, de sa propre action. Tout était flou. Les bruits, les perceptions en étaient assourdis. Il ne ressentait plus rien. Il n’avait plus qu’en tête que le promesse qu’il avait faite à Coquelicot, plus que la haine pour son agresseur. Plus qu’une rage secondeSes coussinets rencontrèrent le pelage de Cascade. Ses griffes se plantèrent dans sa chair. Elle se retourna brusquement et ils roulèrent tous les deux dans la poussière, tourbillon de griffes, de crocs et de secondesIl réussit à atteindre le ventre sensible de Cascade et le lacéra de ses griffes. Plus rien n’avait pas d’importance, excepté sa secondesCascade riposta en lui déchirant l’oreille de ses dents. Le sang gicla. Il grogna de douleur et donna un brutal coup de patte dans l’estomac de Cascade. Sous la violence du choc, elle fut expulser à un mètre de secondesHéron bondit et sans hésiter une seule seconde, planta profondément ses crocs dans la gorge fragile de Cascade. Le goût âcre du sang envahit sa bouche. Elle émit un râle d’agonie et se débattit sous son emprise. Avant de ne plus bouger. resta un long moment comme ça avant de desserrer ses mâchoires et de laisser échoir la tête de Cascade au sol. Héron n’était plus le spectateur. Non, il était devenu un meurtrier. L’assassin de son ange, de celle qui illuminait sa vie. Souffrance. de son acte lui déchira les entrailles. La culpabilité envahit son cœur, le compressant dans un étau de Non…, murmura dit souvent que quand quelqu’un perd un être proche, il se met à pleurer et à hurler de douleur. Pourtant, aucune larme ne vint humidifier ses yeux. Aucun hurlement ne vint jaillir de sa gueule. Culpabilité. métallique du sang vint effleurer ses narines. Puis l’envahissant peu à peu, comme pour le harceler, pour lui hurler à la face son oreilles perçurent un bruit de pas qui venait dans sa direction. Il releva la tête, les yeux hagards. Son père, Roc où nichent les aigles, le regardait avec horreur. A côté de lui, se tenait Eclair et deux ou trois guerriers du clan. Son rival avait un visage décomposé pourtant, il voyait très nettement briller dans ses yeux une lueur de moquerie et de joie avait l’impression de n’être plus qu’un maelstrom d’émotions contraires. Il planta ses yeux dans ceux de son père. Tout ce qu’il y vit, c’est la souffrance, la tristesse, le dégoût. Il lui renvoyait ce qu’il avait fait. Assassin, disait ses yeux. Meurtrier, meurtrier, meurtrier…- Comment as-tu pu… ? Tu es banni. Guerriers, tuez-le, déclara Roc d’une voix froide, Mais c’est votre fils !, protesta un des deux Non, ce n’est plus mon fils. C’est un Il avait raison. Héron n’était qu’un monstre. Les deux chats s’avancèrent, menaçants. Il baissa la tête, vaincu. Il ne méritait que ça, la mort. Ses yeux tombèrent sur le pelage roux et blanc de Coquelicot. Non, il avait promis. Jamais, il ne l’abandonnera. Comme, pouvait-il un seul instant penser se laisser mourir en laissant sa propre fille ?!Le félin posa un dernier regard sur le corps de Cascade. Son ange. La souffrance lui déchira l’âme, le cœur, les entrailles. Puis Héron bondit auprès de sa fille et l’attrapa délicatement par la peau du cou dans sa gueule. Puis, il s’ semaine plus tardHéron avançait péniblement dans le froid de l’automne. Coquelicot pesait lourd dans sa gueule. Ses pattes étaient lourdes et endolories d’avoir trop couru pour fuir. Autour de lui, il avait l’impression que les arbres allaient se refermer sur lui, pour le punir de son crime. Ils se resserraient inexorablement… Le félin roux secoua la tête pour chasser cette soudaine vision. Sûrement la fatigue…On dit que quand quelqu’un a fait quelque chose d’horrible, la culpabilité et la souffrance se mêlent dans sa tête jusqu’à ce qu’il hurle de désespoir ou qu’il devienne fou. Mais pas Héron. Il n’était plus qu’une coquille vide. Il ne ressentait rien. Tout son être était tourné vers sa fille, vers Coquelicot. Elle était tout ce qu’il lui restait. Le coup de Cascade avait dû plongé dans un état entre la vie et la mort. Elle était si continua à marcher, les épaules courbés pour résister au froid. Juste après son bannissement, il avait couru jusqu’à ne plus sentir ses pattes, les guerriers de son père à ses trousses. Il avait finalement fini par les semer. Et maintenant, le félin marchait, il ne savait pas trop où. Jusqu’à ce qu’il découvre un nuit allait tomber. Déjà, le ciel s’assombrissait et les premières étoiles apparaissaient. Il leva les yeux vers elle, les contemplant un instant avant de se remettre en route. Une clairière finit par lui tendre les bras et il s’écroula plus que ne se coucha dans un coin. Il eut tout de même la force de déposer délicatement Coquelicot au sol et de la serrer contre lui pour réchauffer son petit corps. Puis la fatigue l’emporta dans un sommeil il fut réveillé en sursaut au beau milieu de la nuit. Héron releva la tête, tous les sens en éveil. La lune nimbait d’argent les alentours, éclairant presque en plein jour. C’est pour cela qu’il ne pouvait manquer la silhouette trapue et sombre qui se tenait devant lui. Héron se leva d’un bond et se mit devant le corps inconscient de Coquelicot. Il flaira l’air. Un blaireau. Dans l’état de fatigue et de nervosité où il était, le fuite était nettement préférable. Mais apparemment, le blaireau en avait décidé autrement. D’une vitesse étonnante pour un animal de sa corpulence, il s’approcha d’Héron. Celui-là avait déjà attrapé sa fille dans sa gueule. Il allait pour fuir quand le blaireau lacéra de ses grandes griffes le flanc gauche du chat aux yeux ambres. Il grogna de douleur et ses pattes cédèrent sous la soudaine souffrance. Son agresseur en profita pour le mordre à la gorge, ratant de peu Coquelicot. Cette fois, il hurla de douleur entre ses dents serrés sur la peau de sa fille. Sa vision se troubla un bref instant. *Non, je dois pas perdre conscience. Coquelicot compte sur moi* Avec toute la volonté que son âme détruite pouvait lui apporter, il garda connaissance et tourna les talons pour s’enfuir le plus vite que lui permettaient ses jour plus tardHéron se traînait, sans force, sur le chemin boueux. Il avait perdu trop de sang. Par moments, il ne savait même plus s’il était encore en vie ou non. Le félin sentait sa fin proche. Il le savait mais luttait de toutes ses forces. Pour sa fille, pour Coquelicot. Pour tout ce qui restait de son ange. A cette pensée, il ferma les yeux. A présent, la souffrance se mélangeait à celle physique, ne faisait plus de lui qu’un être de douleur. Mais il tenait le coup. Garder la tête hors de l’eau. Pour trébucha pour la énième fois. Héron voulut se relever mais ses pattes cédèrent sous lui. Il savait qu’il ne pourrait plus marcher avant une ou deux heures. Le temps de prendre soin de Coquelicot. Il la déposa au sol et la contempla un instant. Elle paraissait si paisible, dans son état de demi-morte. Evidemment, il ne passait pas un jour sans que l’angoisse ne lui troue l’estomac. Le chat roux lécha tout doucement le pelage Sali par la poussière et la boue de sa fille. Parfois, les paupières de celle-ci frémissaient, comme si quelque part, elle luttait pour les ouvrir. Il continua son travail avec lenteur. Avant de tomber, se réveilla sous un léger mouvement contre son ventre. Au début, il crut que tout cela n’était qu’un cauchemar, qu’il était dans la tanière des porteuses et que Cascade sortait des bras de Morphée. Mais la réalité le rattrapa sans aucune pitié, prenant la forme de la dureté du sol sous lui et de la trop grande luminosité. Le guerrier tourna la tête vers Coquelicot pour voir si tout allait bien. Qu’elle ne fut pas sa surprise quand celle-ci avait les yeux semi-ouverts et le fixait avec étonnement. Héron sentit son cœur bondir de joie et un premier sourire depuis des jours de fuite apparut sur son Vous êtes qui ?, demanda soudainement Coquelicot avec une petite voix faibleUn couteau glacé s’enfonça dans son cœur déjà bien meurtri par trop d’épreuves. *Non, c’est un cauchemar*- Tu ne te souviens pas de moi ?- Non, où suis-je ? Et… Qui suis-je ?Il avait l’impression d’avoir reçu un mur de glace en pleine face. Elle ne le reconnaissait plus. Son propre père… Le coup de Cascade, celui qui avait tout déclenché, avait même jusqu’à lui arracher sa fille. Tu t’appelles Coquelicot, répondit-il d’une voix la petite commençait déjà à fatiguer. Ses yeux se fermaient. Sûrement que sa santé ne devait pas encore lui permettre des prouesses. Très vite, la chair de sa chair tomba dans les bras de Morphée et c’est à ce moment qu’Héron se laissa aller pour la première fois aux il avait tout perdu. heures plus tardHéron pénétra tout doucement dans le camp endormi. Coquelicot dormait, pendant mollement dans sa gueule. Il devait la laisser vivre. Pour la protéger, pour honorer sa félin avisa une petite boule de poils blancs qui gambadait joyeusement devant l’entrée de ce qui semblait être un vrai rempart de ronces. Il s’approcha d’elle. La petite le fixait avec de grands yeux étonnés et c’est avec curiosité qu’elle vint renifler ses pattes. Il se pencha et dit d’une voix douce - Bonjour, comment tu t’appelles ?- Petite luciole, m’sieur !, répondit la chatonne de sa petite déposa Coquelicot au sol. Elle dormait toujours. Il souffla sur son pelage tendrement. Geste déchirant d’ Elle s’appelle Petit coquelicot. Promets moi de prendre bien soin d’elle. Quoi qu’il on dit que les enfants sous-estiment les choses importantes. Il n’était pas d’accord. La lueur de compréhension et d’un je te le promets » qui brillaient dans les yeux verts clairs de Petite luciole en était la preuve du contraire. Il sourit et inclina la tête pour poser une dernière fois son regard sur sa fille. Puis il tourna les m’avait fallu quatres saisons pour construire ma vie et seulement quatres secondes pour la cette jolie story = J'vous laisse pour cette fois xD , La prochaine fois, un reportage xDD By , votre Master Wolfy
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maman chat qui appelle ses chatons